Broutards Le commerce est très dynamique
Les marchés sont très animés, avec des tarifs en progression sur l’ensemble des races et des catégories.
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La dynamique commerciale engendrée par la pluralité des débouchés à l’exportation se combine à une offre insuffisante. La situation inquiète les exportateurs qui ne savent pas s’ils vont pouvoir fournir leurs clients.
Les gammes recherchées pour la Tunisie sont des mâles charolais de 300 à 400 kg. L’Italie demande des mâles de 350 à 500 kg et l’Espagne des plus légers et du second choix. Allemagne et Algérie recherchent des sujets vaccinés FCO 8 et 4.
Les broutards d’automne ne sont pas encore offerts car, face à la tonicité des prix, les éleveurs retardent leurs ventes pour gagner quelques kilos. Dans le Centre, à quelques semaines de la mise à l’herbe, les repousseurs sont également à l’achat, même s’ils restent soucieux des niveaux de prix actuels.
Les lots de mâles charolais de 250 à 300 kg sont compris entre 3 et 3,30 €/kg vif. Dans la gamme de poids intermédiaire 300-350 kg, les tarifs se situent entre 2,80 et 3,05 €/kg vif à Châteaumeillant, Moulins-Engilbert ou Saint-Christophe-en-Brionnais.
La tendance est au maintien des prix (2,50 à 2,65 €) pour les broutards lourds de plus 450 kg (sortie d’été). La tendance reste active pour les limousins sur les cadrans d’Ussel ou des Hérolles, où les U de 300-350 kg se sont négociés entre 2,85 et 3,35 €/kg vif et où les 350-400 kg approchent les 3,15 € de moyenne. Cette fermeté est également constatée pour les croisés salers à Mauriac ou les aubracs à Laissac.
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